La pollution cachée des vidéos mises en ligne…
« C’est une pollution peu visible mais pourtant bien réelle. Les vidéos en ligne ont émis, en 2018, 300 millions de tonnes de CO2, soit 1 % des émissions mondiales. Les plateformes comme Netflix ou Amazon Prime sont particulièrement pointées du doigt, leurs émissions équivalent à celles du Chili. Mais elles ne sont pas les seules responsables : les contenus pornographies, les vidéos sur Youtube et sur les réseaux sociaux sont aussi en cause« .
Un article très intéressant qui doit nous interpeller sur nos pratiques et paradoxes…. Il y a véritablement un enjeu pluriel, de sensibilisation aux pratiques, aux usages, à l’éducation, notamment des plus jeunes, et plus généralement au développement durable.