Nous avons lancé notre nouvelle campagne d’adhésion. Son montant est symbolique.
Fort d’une quarantaine de membres, désormais, notre fonctionnement repose principalement sur l’engagement de nos membres. Nous réalisons des missions d’intérêt général, voire de service public, par conviction. L’argent récolté chaque année sert principalement notre fonctionnement, notamment à renouveler notre adhésion auprès d’Enoll.
Au-delà, c’est l’occasion de vous interpeller sur nos activités et de vous inviter à participer, dans le cadre des projets en cours ou bien en partageant vos idées, vos envies d’agir et de rejoindre cette conviction que nous pouvons peser sur le cours des choses. Pour rappel, Brie’Nov repose ses actions sur 3 piliers, avec la certitude que les usages peuvent changer les choses et apporter plus d’humanité :
- le numérique pour se désenclaver
- le numérique pour participer au développement durable des territoires ruraux et périurbains
- le numérique pour encourager une re-sociabilisation de notre société.
Alors n’hésitez pas, surtout, à minima, d’échanger avec nous.
Une actualité dense cette semaine et qui pose des questions essentielles. Le Carrefour des innovations sociales vient de lancer la version Beta de son site auquel nous avons participé.
LVMH encourage les start-ups
Nous relayons cette information mais sommes toujours perplexes quand l’on désigne des lieux et des méthodes pour encourager l’innovation. Ce n’est que la partie émergée de l’iceberg et c’est malheureusement ce que ne voient pas souvent les grands investisseurs.
Xavier Niel et Bernard Arnault réunis au même endroit sous le crépitement des flashs. Pour le lancement, lundi 9 avril, du programme d’accélération du groupe LVMH chez Station F, les deux parties ont mis les petits plats dans les grands. Dans son espace de 220 mètres carrés appelé La Maison des start-up et doté de 89 postes de travail, le groupe de luxe français prévoit d’accueillir chaque année 50 start-up internationales en deux promotions de six mois
Comment le numérique transforme la nature du salariat
Il y a des révolutions cachées. Cachées par la statistique, par l’inertie des courbes, qui reflètent la stabilité des organisations aussi bien que l’inertie des conventions et des questions posées par le statisticien. L’effet lampadaire en quelque sorte, qui nous amène à regarder là où la lumière est dirigée, même si ce n’est pas au bon endroit.
800 millions d’emplois menacés dans le monde
C’est ce qu’on appelle le revers de la médaille. Alors que les nouvelles technologies sont apparues pour améliorer notre quotidien, elles suscitent de plus en plus de craintes, notamment l’intelligence artificielle, quant à la sécurité de nos emplois. Au cours de la prochaine décennie, les technologies d’automatisation vont ainsi faire disparaître un tiers des emplois aux États-Unis et même jusqu’à 800 millions de postes dans le monde, selon le McKinsey Global Institute.
A lire mais pas avant de s’endormir
Les plateformes numériques, un capitalisme singulier
Il est très possible que Uber ne soit plus là dans cinq ans ». Du moins, dans son fonctionnement actuel. Sauf à réduire le montant de sa commission et à augmenter le prix des courses, son business model n’est pas viable. Une entreprise, fût-elle une plateforme numérique, ne peut pas travailler en permanence à perte sans que les autorités de concurrence s’émeuvent des distorsions de concurrence que cela génère ni que les investisseurs s’inquiètent pour l’avenir de leurs capitaux.