C’est article paru dans Métis souligne une tendance, des tentatives d’adaptation et la nécessité de trouver les bons outils et les bonnes pratiques. Un sujet d’autant plus d’actualité que la 5e vague du Covid nous replonge dans l’inquiétude et l’interrogation et commence de contraindre notre fonctionnement.
« La réponse à l’impossibilité d’organiser les cours en présentiel durant les périodes de confinement successives a été de les délivrer à distance via les outils de vidéo-conférence, jusqu’alors utilisés principalement par les entreprises. Certes cela ne s’est pas fait sans heurts et, tant pour les élèves et les étudiants que pour les enseignants, les stigmates psychologiques résultant de ces longues périodes d’isolement et de distanciation seront probablement encore présents pour de nombreuses années.
Certes, il n’a pas fallu attendre la pandémie pour que les établissements d’enseignement utilisent les outils digitaux, notamment EcoleDirecte. Cependant ceux-ci étaient principalement mobilisés pour la transmission des notes et des appréciations, l’accès à des ressources documentaires et, hormis quelques contenus pédagogiques, l’enseignement n’avait de raison d’être qu’en présentiel ».