Le numérique ne remplace pas mais complète l’humain

Le numérique peut jouer un rôle fondamental dans la prévention, quelle qu’elle soit. Mais il faut une vraie égalité d’accès aux usages et à la compréhension des enjeux.

Des évolutions auxquelles Jean-Louis Kiehl (le fondateur de Cresus) a naturellement prêté une attention particulière. Pour cet observateur averti de la société humaine, dont l’engagement contre le surendettement remonte aux années 1990, le numérique peut représenter un levier majeur d’accompagnement et de prévention des situations de surendettement. A une condition : qu’il ne remplace pas l’humain, mais le complète.

On est bien sur une logique d’éducation et de réflexion sur de nouveaux moyens de connexion et d’action éminemment puissants et fortement chargés d’inégalités.

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